Hartlight (metal symphonique) et son nouvel album The Triumph of Metal
20 mars 2025
Le metal symphonique a toujours eu ce don d’élever la musique à une dimension plus grande que nature, et Hartlight ne fait pas exception à cette règle. Ce groupe franco-suisse, porté par Noémie Marie et Adrien Djouadou, tisse un univers sonore à la fois épique et introspectif, où l’alchimie et la quête de soi s’entrelacent dans des compositions d’une belle richesse. Avec leur nouvel album “The Triumph of Metal” (28/02/2025), Hartlight poursuit son voyage entre puissance orchestrale et mysticisme.

La voix de Noémie Marie se distingue par une puissance vocale envoûtante, capable de naviguer entre envolées lyriques et profondeur émotionnelle brute. Dès ses débuts, le groupe a cherché à créer son propre univers musical et visuel. Leur premier EP “From Midland and Beyond”, sorti via Wormholedeath, posait déjà les bases de cette signature sonore à la croisée du power metal, du progressif et du symphonique.
Leur premier album “As Above, So Below” (2024) a confirmé cette direction, en intégrant davantage de références à l’alchimie, la nature et la quête spirituelle. Avec “The Triumph of Metal”, Hartlight monte encore d’un cran en approfondissant ses thèmes et en livrant une œuvre plus aboutie.
Musicalement, l’album marque une évolution notable. Il conserve l’ampleur orchestrale et la puissance lyrique du groupe, tout en intégrant des éléments progressifs et modernes, enrichissant encore davantage l’expérience. Le tracklisting annonce une épopée sonore de près d’une heure, avec des morceaux allant de la fureur épique au recueillement mystique. Oui, nous avons dit power metal aussi !

Tracklist :
1. The Triumph of Metal (06:19)
2. Polymorphia (06:10)
3. The Scales of Rebis (05:41)
4. Midnight (06:19)
5. The City of Tears (08:28)
6. Mind’s Arboretum (06:10)
7. As my Will to Power is Seen (04:19)
8. A Song of Blood and Steel (11:33)
Le dernier titre, “A Song of Blood and Steel”, est une fresque de 11 minutes qui s’inspire de Tomoe Gozen, la légendaire femme samouraï. Ce choix illustre bien la volonté du groupe de puiser dans l’histoire et la mythologie pour nourrir son imaginaire. Je ne connaissais pas toutes les références mais ce que j'apprécie dans le metal symphonique (et le black metal), c'est ce côté intellectuel et la recherche autour de la musique !
L’univers visuel reflète parfaitement les concepts de l’album, mêlant symbolisme alchimique, costumes travaillés et mise en scène cinématographique. L’implication de Noémie Marie dans la conception des accessoires et costumes souligne cette volonté de faire de chaque œuvre une expérience totale, où le son et l’image ne font qu’un. Encore un élément que j'apprécie dans ce genre musical et dans ce groupe ! Un univers est construit autour de la musique, construit avec soin !



Musicalement, je l'ai déjà bien évoqué : c'est top ! L’ajout d’éléments narratifs renforce encore l’immersion. Bref, Hartlight est un groupe à suivre de près. Si vous aimez Therion, Epica, After Forever, ou Seven Spires, vous devriez jeter une oreille (et un oeil) à “The Triumph of Metal”.
Hartlight prouve une fois encore que le metal symphonique n’a rien perdu de sa grandeur. Avec “The Triumph of Metal”, le groupe livre une œuvre puissante et introspective, qui s’adresse autant aux amateurs de fresques orchestrales qu’aux passionnés de mysticisme et de symbolisme. Que ce soit musicalement ou visuellement, suivez Hartlight.
Les liens du groupe : site internet, YouTube, Bandcamp, Facebook et Instagram
Hartlight : metal symphonique mais pas seulement
Hartlight n’est pas un simple groupe de metal symphonique. Premièrement, le groupe oscille entre le metal symphonique et le power metal. Et deuxièmement, leur musique s’inscrit dans une vision ésotérique et alchimique, transportant l’auditeur dans une exploration de la lumière et de l’ombre, du chaos et de l’ordre. Le groupe est composé de Noémie Marie (voix), Adrien Djouadou (guitare et basse), Adrien Guignal (guitare) et Guillaume Remih (batterie).
La voix de Noémie Marie se distingue par une puissance vocale envoûtante, capable de naviguer entre envolées lyriques et profondeur émotionnelle brute. Dès ses débuts, le groupe a cherché à créer son propre univers musical et visuel. Leur premier EP “From Midland and Beyond”, sorti via Wormholedeath, posait déjà les bases de cette signature sonore à la croisée du power metal, du progressif et du symphonique.
Leur premier album “As Above, So Below” (2024) a confirmé cette direction, en intégrant davantage de références à l’alchimie, la nature et la quête spirituelle. Avec “The Triumph of Metal”, Hartlight monte encore d’un cran en approfondissant ses thèmes et en livrant une œuvre plus aboutie.
“The Triumph of Metal” : l'album de metal pour un voyage alchimique
Le titre de l’album “The Triumph of Metal” n’est pas anodin. Il fait à la fois référence au genre musical, mais aussi à un ouvrage alchimique majeur, “Le Chariot Triomphal de l’Antimoine” de Basile Valentin. L’antimoine, ce métal mystérieux associé à la transmutation, est une métaphore puissante de l’évolution humaine et artistique, une thématique récurrente chez Hartlight.Musicalement, l’album marque une évolution notable. Il conserve l’ampleur orchestrale et la puissance lyrique du groupe, tout en intégrant des éléments progressifs et modernes, enrichissant encore davantage l’expérience. Le tracklisting annonce une épopée sonore de près d’une heure, avec des morceaux allant de la fureur épique au recueillement mystique. Oui, nous avons dit power metal aussi !

Tracklist :
1. The Triumph of Metal (06:19)
2. Polymorphia (06:10)
3. The Scales of Rebis (05:41)
4. Midnight (06:19)
5. The City of Tears (08:28)
6. Mind’s Arboretum (06:10)
7. As my Will to Power is Seen (04:19)
8. A Song of Blood and Steel (11:33)
Le dernier titre, “A Song of Blood and Steel”, est une fresque de 11 minutes qui s’inspire de Tomoe Gozen, la légendaire femme samouraï. Ce choix illustre bien la volonté du groupe de puiser dans l’histoire et la mythologie pour nourrir son imaginaire. Je ne connaissais pas toutes les références mais ce que j'apprécie dans le metal symphonique (et le black metal), c'est ce côté intellectuel et la recherche autour de la musique !
Hartlight et son univers visuel et narratif fort
Hartlight ne se limite pas à la musique : chaque album, chaque titre s’accompagne d’une direction artistique travaillée. Pour “The Triumph of Metal”, le groupe a confié la réalisation du clip du morceau éponyme à Yohan Dully et Tinygigie, qui ont également assuré le montage et la direction artistique.L’univers visuel reflète parfaitement les concepts de l’album, mêlant symbolisme alchimique, costumes travaillés et mise en scène cinématographique. L’implication de Noémie Marie dans la conception des accessoires et costumes souligne cette volonté de faire de chaque œuvre une expérience totale, où le son et l’image ne font qu’un. Encore un élément que j'apprécie dans ce genre musical et dans ce groupe ! Un univers est construit autour de la musique, construit avec soin !
Mon avis sur le nouvel album d'Hartlight
Oui, j'aime le metal symphonique et Hartlight fait partie de ces groupes qui parviennent à créer un univers riche, cohérent et captivant. “The Triumph of Metal” s’annonce comme une œuvre ambitieuse : une belle recherche musicale et thématique. J’apprécie particulièrement la manière dont le groupe intègre des références alchimiques et philosophiques dans ses compositions. Le fait qu’ils s’inspirent d’ouvrages anciens, d’histoires mythiques et de concepts ésotériques donne une profondeur à leur musique que l’on ne retrouve pas chez tous les groupes de metal symphonique. J'aime le metal qui rime avec intelligence que voulez-vous !


Musicalement, je l'ai déjà bien évoqué : c'est top ! L’ajout d’éléments narratifs renforce encore l’immersion. Bref, Hartlight est un groupe à suivre de près. Si vous aimez Therion, Epica, After Forever, ou Seven Spires, vous devriez jeter une oreille (et un oeil) à “The Triumph of Metal”.
Hartlight prouve une fois encore que le metal symphonique n’a rien perdu de sa grandeur. Avec “The Triumph of Metal”, le groupe livre une œuvre puissante et introspective, qui s’adresse autant aux amateurs de fresques orchestrales qu’aux passionnés de mysticisme et de symbolisme. Que ce soit musicalement ou visuellement, suivez Hartlight.
Les liens du groupe : site internet, YouTube, Bandcamp, Facebook et Instagram
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